
Peu à peu relégué au second rang, le gin finit par tomber dans l'oubli.
Au cours des années 70, il souffrit d’une image vieillissante, face à une clientèle fan de vodka.
Mais à la fin des années 80, une nouvelle marque de gin, le célèbre Bombay Sapphire fit son apparition. C'est alors que la catégorie entière de gin retrouva de sa splendeur et suscita à nouveau la curiosité des barmen et des mixologistes. Le gin devint alors une nouvelle source d’inspiration et d’innovation.
Au cœur même de la production du gin se trouve une baie de couleur bleue-verte, fruit d’un buisson appelé genus juniperus : le genièvre. Viennent ensuite d’autres aromates, comme les graines de coriandre.
Cependant aucune règle ne contraint le choix et le dosage des herbes, aromates et autres épices qui composent cette eau-de-vie.
Mais le véritable savoir-faire du distillateur repose sur une connaissance précise des conditions d’extraction des huiles essentielles de chacune des plantes, aromates et épices sélectionnés. À chacun sa technique !
Le gin est en réalité une eau-de-vie de grain ou de mélasse aromatisée. Cette aromatisation peut s’effectuer de façon naturelle, par infusion ou macération de l’alcool avec des épices, des aromates et des herbes, ou bien de façon artificielle, par l’adjonction d’essences de gin naturelles ou artificielles.
Le genièvre, qui donne son nom au gin, en est une composante essentielle. En Europe, le degré minimum d’un gin est de 37,5%. Son goût et son aspect peuvent être ajustés par l’ajout de sucre et de colorant.
La grande majorité des gins est élaborée à partir d’un alcool neutre de grain ou de mélasse. Dans le cas d’un alcool de grain, le moût est souvent composé d’un mélange de céréales : maïs (75%), orge (15%) et céréales autres (10%) dont du seigle.
Une fois distillé, l’alcool est mis à reposer quelques heures en cuve, puis son degré alcoolique est peu à peu réduit par dilution, jusqu’au degré souhaité. Une fois la température de l’alcool descendue à -2°C, celui-ci est passé à travers un filtre de cellulose afin d’extraire toutes les particules restées en suspens.
Au-delà de son mode d’aromatisation, par macération, distillation ou par mélange, le gin se divise en différentes catégories:
Quel est le dosage idéal ?
La recette est en réalité assez simple. Le ratio idéal pour créer un GinTonic de qualité : C'est une part de gin & deux parts de tonic. "
Pour résumer, en général, il faut 6cl de gin pour 20cl tonic.
Cela permet de découvrir toutes les saveurs & aromates du gin utilisé, qui sera lui sublimé par le tonic choisi.
Mais Quel verre choisir ? Est ce que la glace est importante ? Quel ingrédient y ajouter ? Tu le découvriras très prochainement dans un autre article de blog
Pour connaître le volume d'alcool dans son verre, on calcule le volume d'alcool par produit que l'on mélange...
Par exemple, un verre de vin (qui n'est mélangé à aucun autre liquide) a 12,5% d'alcool dans un verre de 25 cl et donc le volume d'alcool de tout le liquide (ici le vin) est de 12.5%.
Un verr de bière a 5% d'alcool dans un verre de 25cl et le volume d'alcool de tout le liquide est donc de 5% aussi. (ne comprend pas les bières fortes)
Mais pour un gin tonic, si on a 5 cl de gin à 40 degré d'alcool et 20 cl de tonic à 0 degré d'alcool, le volume d'alcool de 25 cl du liquide/GinTo sera de 8%.
On se rend donc compte qu'un verre de vin peut être plus fort qu'un GIN Tonic. Mais également qu'une bière standard n'est pas beaucoup moins forte que celui-ci ! Une bonne raison de privilégier un bon GinTonic !
Entre les soirées entre amis et les dîners en famille, on sait que le lendemain cela peut parfois être compliqué et que notre foie va une nouvelle fois en prendre un coup.
Et si il existait des astuces qui permettaient d'éviter cela ?
1. L’alcool doit être clair
La règle d’or est de choisir un alcool clair pour minimiser la gueule de bois. Alors si ces options semblent être les pires, ce sont en réalité les meilleures. on privilégiera alors le Gin, la vodka et le Saké. Plus un alcool est clair, moins il contient d'impuretés liées à la fermentation que notre corps a du mal à assimiler. Ces impuretés contribuent aussi à la sensation de nausée du lendemain.
2. Quels alcools éviter ?
Si l’on suit bien le point 1 : le vin & la bière sont deux alcools à éviter si le lendemain on veut être en pleine forme.
La qualité de l’alcool joue aussi son pesant de cacahuètes. On ne vous apprend rien quand on vous dit que la piquette contribue à votre gueule de bois. Autre responsable du mal de crâne : le tannin. Et même les vins les plus chers peuvent en contenir.
3. Bien choisir son mix
Il va également vous falloir bien choisir le soft avec votre gin. Les boissons sucrées ou gazeuses provoquent des ballonnements et à absorber plus vite. Ce qui veut dire que plus vous ingérer de l’alcool vite, plus les effets sont rapides, plus votre taux d’alcoolémie est élevé ainsi que votre niveau de déshydratation. Du coup, plus il y a de sucres, plus le lendemain risque d’être difficile.
Le gin tonic est donc la solution idéale puisque la plupart des tonics ont un taux de sucre très réduits et cela permettra de rester hydrater.
4. Les calories
On sait tous que la bière est l'un des alcools les plus caloriques qui existent. Alors si tu veux faire attention à ta ligne tout en t'amusant, privilégie plutôt le GinTonic qui est une boisson réputée pour être basse en calories !
5. Le taux d'alcool
On s'est rendu compte qu'un verre de vin est généralement plus fort qu'un GIN Tonic. Mais également qu'une simple bière n'est pas tant moins forte que celui-ci !
Une bonne raison de privilégier un bon GinTonic !
Tu veux découvrir des gins de qualité ? Rendez-vous sur notre E-shop !
Suivez-nous sur
@gininthebox